Hong Kong : Interdiction de vente pour les produits de la vape

Hong Kong : Interdiction de vente pour les produits de la vape

Plus de cinq ans après les premières proposition, Hong Kong a finalement interdit la vente de produits de vapotage. Le conseil législatif a adopté ce projet de loi le 22/10/2021 par 32 voix contre 3.

La vente, la fabrication, l’importation ou la promotion des produits de la cigarette électronique et du tabac chauffé, sont ainsi interdits à Hong Kong. L’usage personnel n’est quant à lui, pas criminalisé.

Comme bien souvent dans ce type de cas, l’interdiction légiférée à Hong Kong a été fortement promue par les organisations de santé publique et médicales sous couvert de mesure de protection des jeunes. Des groupes comme le Hong Kong Council on Smoking and Health (COSH) font pression pour l’interdiction des produits à base de nicotine à faible risque.

Un projet de loi similaire, soutenu par la cheffe de l’exécutif de Hong Kong, Carrie Lam, a été présenté en 2018, et finalement abandonné par le conseil l’été dernier sans vote. Presque immédiatement, les groupes de lutte antitabac avaient commencé à faire campagne pour l’introduction d’une nouvelle loi interdisant la vape...

Comment ces nouvelles réglementations impacteront les fabricants qui expédient des produits depuis les ports de Hong Kong ? On peut se le demander.

Hong Kong se trouve à quelques kilomètres au sud de Shenzhen, en Chine.
Shenzen est la capitale mondiale de la production de matériel de cigarette électronique. De nombreux produits qui y sont fabriqués, transitent par Hong Kong afin d’être exportés vers d’autres pays.

Hong Kong est une région semi-autonome de la République populaire de Chine. Sa population est de 7,4 millions de personnes avec un niveau de vie élevé. Ces dernières années, la Chine a décidé d’assumer un contrôle plus strict de Hong Kong.

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Thaïlande : un ministre veut légaliser l’e-cigarette

Thaïlande : un ministre veut légaliser l’e-cigarette

La Thaïlande est connue pour sa politique très stricte en ce qui concerne les produits du vapotage. Le pays interdit la vente de ces produits et combat la « contrebande » avec la même énergie que s’il s’agissait de drogues. Mais un ministre thaïlandais a décidé de nager à contre-courant et de soutenir la légalisation des cigarettes électroniques.

Vers une légalisation de la cigarette électronique ?

Chaiwut Thanakamanusorn, le ministre de l’Économie et de la Société numériques, a déclaré le 5 octobre qu’il cherchait le moyen de légaliser la cigarette électronique dans le pays, afin de la rendre disponible comme alternative au tabagisme. Chaiwut Thanakamanusorn affirme qu’il y a au moins 10 millions de fumeurs en Thaïlande qui pourraient en bénéficier.

Le ministre a suggéré que le tabac cultivé en Thaïlande pourrait fournir la nicotine des produits de la vape. Ce serait ainsi profitable aux agriculteurs thaïlandais et à la Tobacco Authority of Thailand. La Tobacco Authority of Thailand étant le monopole d’État qui contrôle les ventes de tabac dans le pays.
Les pays dont l’industrie du tabac appartient à l’État interdisent souvent ou restreignent sévèrement les ventes de produits de vapotage.

Des voix s’élèvent déjà, avant la moindre proposition de loi.

Les intentions sont nobles, mais dans cette tâche, le responsable politique aura besoin de soutien.
Les groupes de lutte antitabac font déjà la queue pour s’opposer à la suggestion de Thanakamanusorn de légaliser le vapotage.

« Divers éléments de la société, gouvernementaux et non gouvernementaux, ont travaillé dur pour réduire le nombre de fumeurs, donc la légalisation des cigarettes électroniques ne fera qu’exacerber la situation », a déclaré Somsri Pausawasdi, président de la « National Alliance for a Tobacco-Free Thailand » (NATFT).

Ronnachai Kongsakon, directeur du « Tobacco Control Research and Knowledge Management Center » (TRC), a déclaré : « les cigarettes électroniques ne sont pas des choix plus sûrs pour les personnes qui souhaitent arrêter de fumer, alors que les connaissances sur leurs effets à long terme sur la santé restent limitées pour le moment ».

Il a ajouté que le groupe international de lutte antitabac The Union a conseillé d’interdire la vente de produits de vapotage dans les pays à revenu faible et intermédiaire.
Rappelons que la croisade anti-vapotage de l’Union est en partie financée par Bloomberg Philanthropies.
Bloomberg Philantropies a dépensé plus d’un milliard de dollars en activisme anti-tabac et vapotage au cours de la dernière décennie.
Mais nous connaissons les positions anti-vapotage du groupe…

Malheureusement, Bloomberg finance également les activités de lutte antitabac de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
L’OMS encourage les pays à suivre les recommandations de Bloomberg en se basant sur des études biaisées et non dénuées de partis-pris.

Pour la santé publique, espérons que la proposition de Chaiwut Thanakamanusorn puisse faire écho auprès d’autres responsables politique. Il n’aura jamais trop de soutien dans cette tâche.

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Nouveau rapport néfaste de l’OMS

Nouveau rapport néfaste de l’OMS

L’Organisation mondiale de la santé poursuit son programme de sape dirigé par Bloomberg, en publiant un nouveau rapport qui « met en lumière l’impact négatif des cigarettes électroniques et des produits du tabac chauffés« . Le document examine les « produits du tabac » nouveaux et émergents. Il y inclue la vape, et attaque les « ingrédients toxiques » et la nicotine.

Demi-vérités et (dés)information

L’OMS parvient à viser juste sur au moins un point, en déclarant que le tabac tue « plus de 8 millions de personnes par an, avec plus de 7 millions de ces décès attribués à l’usage direct du tabac et environ 1,3 million aux victimes de tabagisme passif. Le tabac tue également jusqu’à la moitié de ses utilisateurs et reste donc une urgence sanitaire mondiale. »

Le groupe d’étude de l’OMS sur la réglementation des produits du tabac affirme que son rapport permettra « d’informer les décideurs politiques du contexte scientifique de ces produits et les exhorte à combler les lacunes réglementaires pour les nouveaux produits à base de nicotine et de tabac. Il s’agit notamment des systèmes d’administration électronique de nicotine (ENDS pour Electronic Nicotine Delivery System), des systèmes d’administration électroniques sans nicotine (ENNDS) et des produits du tabac chauffés.

Malheureusement, le groupe d’étude a axé son document sur la politique et sur l’idéologie. Ce qui le rend inutile aux législateurs.

Ce que l’OMS affirme

  • Dommages causés par le vapotage en raison d’ingrédients toxiques
  • L’exposition à la nicotine crée les dommages
  • Les cigarettes électroniques n’ont « pratiquement aucune réglementation »
  • Les produits de la vape font l’objet « d’un marketing agressif »
  • La promotion du vapotage s’adresse aux « enfants et adolescents »

Sur ce fond de désinformation, la recommandation principale de l’OMS peut sembler bien ironique.
En effet, elle juge que les décideurs « devraient continuer à se concentrer sur les mesures fondées sur des données probantes pour réduire le tabagisme. Comme indiqué dans la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac (CCLAT). Cela inclut les produits du tabac nouveaux et émergents, qui sont poussés par l’industrie du tabac. »

De telles propos sur ce fond de désinformation pourraient prêter à sourire si ce n’était pas si grave.

Le rapport recommande également

  • Il faudrait soumettre les produits du tabac chauffée, aux réglementations antitabac les plus restrictives
  • Il faudrait interdire aux fabricants de produits du tabac chauffés d’avancer une réduction des risques
  • Le public doit être  » bien informé des risques associés  » à l’utilisation de produits du tabac chauffés
  • Les pays devraient « s’appuyer sur des données et des recherches indépendantes sur l’impact sanitaire de l’utilisation de produits du tabac chauffés et les soutenir »
  • Une interdiction totale de toute commercialisation des e-cigarettes et des produits du tabac chauffés, y compris dans les médias sociaux et par l’intermédiaire d’organisations « financées par l’industrie du tabac et associées à celle-ci »
  • Interdire toutes les cigarettes électroniques, « dans lesquelles l’utilisateur peut contrôler les caractéristiques du dispositif et les ingrédients liquides »
  • Là où le cannabis est légal, il faut interdire son utilisation avec les e-cigarettes

Selon l’OMS, il faut que ces recommandations soient mises en œuvre au plus vite.
« Les pays sont instamment invités à appliquer les recommandations du nouveau rapport. Ils disposent de suffisamment d’informations sur la nicotine et les produits du tabac pour agir afin de protéger la santé de leurs populations, en particulier des jeunes générations. »

Information ou désinformation ?

La menace que l’OMS fait ainsi peser sur la réduction des risques liés au tabac et sur le vapotage ne saurait être plus évidente.

L’expert en réduction des méfaits Clive Bates a exhorté le gouvernement britannique à utiliser son expérience de réduction du tabagisme en encourageant les ENDS, dans le cadre de sa « grande voix indépendante » lors du prochain sommet COP9 en novembre.

Il a également récemment déclaré au Daily Express que l’OMS était « négligente et incompétente ».
Mais aussi qu’elle « ignorait la science », ajoutant : « Des millions de vies sont en jeu. Ce n’est pas une hyperbole. Si vous résistez à une technologie qui permet de sauver des vies alors que les progrès ont été très lents dans le passé, alors vous êtes essentiellement coupable de priver les gens de cette technologie qui permet de sauver des vies et le résultat sera davantage de cas de maladie et de décès. « 

Lord Ridley a déclaré que le récent rapport du Groupe parlementaire multipartite pour le vapotage « a exhorté le Royaume-Uni à adopter une une position forte sur la réduction des risques et l’occasion se présente ici d’y aller avec un message fort de réduction des risques».

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USA : contre-attaque des fabricants contre les refus de PMTA

USA : contre-attaque des fabricants contre les refus de PMTA

Il y a quelques semaines, Turning Point Brands était le premier à contester le refus de commercialisation qu’avait émis la FDA à son encontre. L’entreprise déposait une demande au tribunal fédéral afin que l’application de refus de commercialisation (MDO) soit suspendue, le temps que la décision d’appel soit prononcée. Depuis d’autres fabricants ont suivi.

On s’attend à ce que plusieurs autres entreprises déposent bientôt leurs propres recours.

Le 29 septembre, l’entreprise Floridienne Bidi Vapor, qui fabrique des dispositifs de vaporisation jetables préremplis, a demandé à la 11e Cour d’appel des États-Unis d’examiner le MDO de la FDA pour 11 saveurs de son produit. Dans un communiqué de presse, la société affirme avoir soumis plus de 285 000 pages de documents à l’appui de ses demandes de pré-commercialisation (PMTA).

Bidi Vapor demande au tribunal d’annuler le refus de commercialisation de la FDA, le qualifiant comme « arbitraire, capricieux, un abus de pouvoir discrétionnaire, ou autrement non conforme à la loi, ainsi que contraire au droit constitutionnel et dépassant la juridiction statutaire, l’autorité, ou limitations, ou à court de droit statutaire« .

Rappelons que les demandes de révision des refus de commercialisation du FDA Center for Tobacco Products sont traitées par les cours fédérales d’appel, conformément à la loi sur le contrôle du tabac .

Autre entreprise à faire appel contre la décision de MDO dont elle fait l’objet pour plusieurs de ces dosettes préremplies, Magellan Technology, basée à Buffalo, NY.

Magellan Technology entre autres arguments, pointe du doigt les nouvelles exigences de la FDA et le fait que les fabricants doivent fournir d’avantage de preuve sur les produits contenant des saveurs autres que tabac et menthol.

La FDA a annoncé la nouvelle norme de facto le 26 août , en même temps que les premiers MDO délivrés aux fabricants de produits de vapotage aromatisés.

De nombreux observateurs soulèvent également le fait que les MDO ont été prononcées en l’absence de règles fixes énonçant le contenu requis d’une PMTA.
Magellan affirme par ailleurs dans sa requête au tribunal que ceci est illégale.

La FDA a finalement publié ses exigences pour les dossiers PMTA, le 4 octobre 2021, plus de cinq ans après l’ entrée en vigueur de la règle Deeming qui rendait obligatoire l’autorisation de la PMTA pour tous les nouveaux produits de vapotage. L’agence a publié une règle en janvier , mais elle a été retirée presque immédiatement pour examen par l’administration Biden.

De son coté, Turning Point Brands (TPB) a demandé à la Cour d’appel du sixième circuit le 23 septembre d’examiner le refus par la FDA des demandes de pré-commercialisation (PMTA) pour de nombreux e-liquides de la société. Le 30 septembre, TPB a demandé au même tribunal de suspendre l’ordonnance de refus de la FDA , permettant à la société de continuer à vendre les produits pendant l’examen du tribunal.

La motion d’urgence de la société, qui demande un examen accéléré même si le tribunal n’est pas disposé à prononcer une suspension, contient de nombreuses informations sur le processus de la PMTA. TPB fournit en fait un bref historique des actions de la FDA depuis la publication de sa règle de présomption en 2016.

L’agence a modifié à plusieurs reprises le calendrier de soumission de la PMTA et a hésité sur les preuves qui doivent être incluses dans une PMTA. En fait, la FDA n’a jamais offert une image claire de ce à quoi pourrait ressembler un PMTA réussi pour un produit de vapotage.

« La FDA a indiqué à plusieurs reprises à l’industrie que, pour obtenir une autorisation de mise sur le marché, elle n’avait pas besoin de produire des études à long terme. Au lieu de cela, la FDA a recommandé de soumettre des revues de littérature scientifique, des études de perception des consommateurs ou d’autres alternatives pour montrer que les produits ENDS sont «appropriés pour la protection de la santé publique» », indique la motion TPB.

Mais lorsque TPB a reçu son MDO, la FDA a changé d’avis. « La FDA a estimé que TPB n’avait pas mené d’essai contrôlé randomisé et/ou d’étude de cohorte longitudinale ou d’autres études pour montrer que les produits aromatisés de TPB aident d’avantage les utilisateurs adultes à arrêter de fumer que les produits saveur tabac« , explique TPB.

« Pourtant, la FDA a précédemment jugé ces études inutiles« , poursuit la motion. « Et la FDA a rejeté les autres études de TPB jugée peu fiables« .

TPB a également déclaré que la FDA « n’a pas pris en compte les conséquences d’une interdiction générale des ENDS aromatisés pour des millions d’anciens fumeurs adultes qui perdront soudainement l’accès aux produits dont ils ont dépendu pour arrêter ».

En fait, aucune des communications de la FDA depuis le 26 août n’a reconnu le désastre d’anciens fumeurs revenant en masse du vapotage à la cigarette – une menace dont le directeur du Center for Tobacco Products, Mitch Zeller, avait lui-même mis en garde le juge Paul Grimm dans l’argument de la FDA contre un tribunal. Et la FDA n’a pas cité la baisse spectaculaire du vapotage chez les jeunes montrée dans les résultats préliminaires de l’enquête CDC 2021.

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San José, Californie : vers une interdiction des produits de vapotage et de tabac aromatisés

San José, Californie : vers une interdiction des produits de vapotage et de tabac aromatisés

San José, en Californie, est devenue la plus grande ville américaine à interdire tous les produits de tabac aromatisés et de vapotage, après un vote unanime du conseil municipal. L’interdiction concerne les produits de vapotage de toutes les saveurs autres que tabac, des cigarettes mentholées et du tabac sans fumée. Ces nouvelles dispositions ne concerneront pas la chicha, en revanche.

L’interdiction prendra effet le 30 juin 2022.

San José, considérée comme la « capitale de la Silicon Valley », abrite un peu plus d’un million d’habitants. La ville compte plus de 650 détaillants de tabac et de vapotage.

Alors que San José est la ville américaine la plus grande et la plus récente à interdire tous les produits de tabac aromatisés et de vapotage, plus de 100 villes californiennes ont des lois similaires. Y compris les voisins de la région de la baie de San José, San Francisco et Oakland. Beaucoup d’autres ont interdit « uniquement » les produits de vapotage aromatisés.

San Francisco était la première grande ville américaine à interdire le tabac aromatisé et les produits de vapotage en 2018. Ce qui a entraîné une augmentation du tabagisme chez les jeunes.

L’Assemblée de Californie a adopté l’année dernière une interdiction du tabac aromatisé et des produits de vapotage. Elle a été promulguée par le gouverneur et devait entrer en vigueur plus tôt cette année. Mais les opposants ont recueilli suffisamment de signatures de citoyens pour envoyer la loi à un référendum en 2022.

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Royaume-Uni : 10e édition de STOPTOBER

Royaume-Uni : 10e édition de STOPTOBER

Comme chaque année, octobre signifie le lancement de la campagne Stoptober, initiée par le Public Health England (PHE) et le National Health Service (NHS).

Le Stoptober est l’occasion d’encourager les fumeurs à arrêter ou à passer au vapotage. Selon le PHE, Stoptober a déjà aidé 2,3 millions de fumeurs à arrêter de fumer au cours des dix années d’existence.

Le Public Health England déclare :

« Plus de 6 millions d’adultes en Angleterre fument toujours, et cela reste la principale cause de décès prématuré, avec près de 75 000 décès évitables par an. Une nouvelle enquête nationale auprès de 2 000 fumeurs a révélé que près de la moitié (45 %) fumaient davantage depuis le début du premier confinement. Les principales raisons évoquées sont dues à l’ennui des confinements (43%) ou à la pandémie de COVID-19 les rendant plus anxieux (42%) » .

« Plus des deux cinquièmes (43%) des fumeurs interrogés pensent que la force de la dépendance et/ou de l’envie est le plus grand obstacle à l’arrêt, suivi du stress de la vie quotidienne (42%). Plus de la moitié des fumeurs souhaitent arrêter et les trois quarts (75 %) n’auraient jamais commencé à fumer s’ils avaient pu remonter le temps. Parmi ceux qui souhaitent arrêter, plus de la moitié (55%) aimeraient le faire pour améliorer leur santé physique ou économiser de l’argent (52%) » .

« L’impact perturbateur de la pandémie sur les habitudes tabagiques rend la tentative d’arrêt de masse Stoptober de cette année plus importante que jamais. Arrêter de fumer apporte de multiples avantages pour la santé, certains immédiats et d’autres qui s’accumulent avec le temps. Il s’agit notamment de pouvoir commencer à mieux bouger, de pouvoir respirer plus facilement et d’économiser de l’argent. Le fumeur moyen peut économiser 1 875,60 £ (environ 2200 €) par an en arrêtant de fumer (sur la base du prix de juillet 2021, 11,46 £ soit environ 13,44 €)».

Les outils d’arrêt proposés par Stoptober de cette année comprennent :

  • Application pour arrêter de fumer du NHS
  • Bot de messagerie Facebook
  • Communautés en ligne Facebook Stoptober
  • E-mails et SMS quotidiens
  • Plan d’arrêt personnel en ligne

Les services d’arrêt du tabac encouragent de plus en plus les fumeurs à essayer de passer au vapotage, grâce aux conseils qu’ils ont reçus du PHE, de Cancer Research UK et du Royal College of Physicians. De plus, de nombreux magasins de vapotage et vendeurs en ligne proposent des offres spéciales sur les kits de démarrage.

Scott Crosby, responsable du programme de lutte contre le tabagisme au Public Health England, a déclaré :

« Depuis le début de la pandémie, nous avons constaté une augmentation du nombre de jeunes de 18 à 34 ans commençant à fumer, c’est pourquoi Stoptober est plus vital que jamais. Maintenant dans sa 10e année, il a aidé plus de 2 millions de fumeurs à arrêter de fumer » .

« Cesser de fumer améliorera non seulement immédiatement votre santé physique, mais aussi votre solde bancaire. La recherche montre que si vous pouvez passer 28 jours sans fumer, vous avez 5 fois plus de chances d’arrêter pour de bon ».

Le Dr Sarah Jarvis, médiatique médecin généraliste, a déclaré :

« Le tabagisme reste la principale cause évitable de décès prématuré. Chaque cigarette fumée endommage les poumons et les voies respiratoires, ce qui rend la respiration plus difficile. Fumer remplit les poumons de toxines qui nuisent au système immunitaire et rendent le fumeur plus vulnérable aux infections – ce qui a été au premier plan de tous nos esprits au cours des 18 derniers mois » .

« En tant que médecin, j’exhorte chaque fumeur à essayer d’arrêter de fumer en octobre – il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer – arrêter de fumer apporte des avantages immédiats pour la santé, y compris pour les personnes atteintes d’une maladie liée au tabagisme. Il y a beaucoup de soutien disponible, y compris l’aide d’experts des services locaux pour arrêter de fumer, des aides pour arrêter de fumer et des outils numériques. Vous n’avez pas besoin de le faire seul ».

« PHE est heureux que les principales organisations de santé britanniques, dont The Asthma UK et la British Lung Foundation, se soient jointes à l’appel pour encourager les fumeurs anglais à arrêter ou à changer pour un mode de consommation de nicotine à moindre risque ».

Eluned Hughes, responsable des conseils de santé chez Asthma UK et British Lung Foundation, a déclaré :

« Arrêter de fumer est l’une des meilleures choses que l’on puisse faire pour améliorer sa santé globale. Le tabagisme endommage gravement les poumons, ce qui augmente le risque de développer des maladies telles que la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) ».

« Il est plus que jamais vital que les gens protègent leurs poumons en abandonnant cette habitude mortelle. Peu importe depuis combien de temps vous fumez. Il n’est jamais trop tard pour abandonner. Et si vous souffrez déjà d’une maladie pulmonaire, alors arrêter de fumer est l’une des meilleures choses que vous puissiez faire pour vous aider. Alors que Stoptober fête son dixième anniversaire, pourquoi ne pas faire le premier pas pour arrêter définitivement ? » .

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