Venezuela : ouverture d’une consultation publique

Venezuela : ouverture d’une consultation publique

Le Venezuela prend les devants et annonce l’ouverture d’une consultation publique destinée à mettre en place une réglementation « équitable » de la cigarette électronique.

L’association « Asociación Venezolana de Vapeo« , créé en 2019 par Mariam Bolivar, a entamé ce combat depuis deux ans afin d’obtenir cette première avancée favorable à la commercialisation de cigarettes électroniques.

« En 2019, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure afin d’atteindre un objectif dans la communauté du vaping : faire de mon pays le premier en Amérique latine avec une réglementation favorable à la vape, afin de paver un chemin légal pour d’éventuelles réglementations dans d’autres régions. Aujourd’hui, je suis très heureuse d’annoncer que nous avons fait une vraie avancée vers la réalisation de cet objectif, puisque, par sa publication dans le Journal officiel du 26 mars 2021, le ministère de la Santé a officiellement lancé la consultation publique pour la première résolution favorable de commercialisation dans la région ».

Avec 3 millions de fumeurs soit 10% de la population vénézuélienne, le pays a ainsi décidé d’encourager l’usage de la vape pour limiter le nombre de décès liés au tabac.

Pour cela, félicitations à Mariam Bolivar via son association pour son combat contre de grands groupes qui malheureusement encourage les pays en voie de développement à interdire la vape.

Cette décision est donc une grande avancée pour le continent d’Amérique Latine qui va certainement permettre à d’autres pays de l’imiter.

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Royaume-Uni : les physiciens favorables à la vape

Royaume-Uni : les physiciens favorables à la vape

Le Royaume-Uni est un fervent défenseur de la vape depuis son apparition et n’a cessé de démontrer ses bienfaits face aux critiques des plus réticents. Libre des contraintes européennes, depuis le Brexit, l’état britannique entend bien appliquer sa propre politique anti-tabac.

Le Royal Collège of Physicians vient de révéler son avis concernant la lutte anti-tabac. Depuis 1962, cette institution s’efforce de combattre le fléau sanitaire qu’est le tabac. Ce qui a permis en quelques décennies, grâce notamment à leurs messages préventifs, de réduire la consommation tabagique.

Parmi ses recommandations, une augmentation des taxes du tabac et le fait que la vape ne soit plus concernée par l’interdiction de fumer dans les lieux publics. Le Royal Collège Physicians entend également favoriser la vapoteuse comme moyen de sevrage tabagique en sollicitant les fumeurs à l’adopter sans plus tarder. Concernant la protection des plus vulnérables face au tabagisme, en particulier les plus jeunes, l’institut recommande de dissimuler les produits du tabac à la vue des mineurs. Pour cela, il encourage à ne pas laisser à portée de main dans les rayons, et interdit la publicité.

Libéré de ces contraintes européennes et loin des doutes qui subsistent autour de la vape, le Royaume-Uni souhaite protéger sa population des dangers du tabac, en leur proposant une alternative fiable.

Grâce à sa collaboration avec le Royal Collège Physicians, la vape est donc en bonne voie pour être reconnue comme un moyen redoutable contre la lutte anti-tabac.

Espérons que cette émancipation sera un exemple et apportera une meilleure image de la vape au sein d’autres états.

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La cigarette électronique : une solution également écologique

La cigarette électronique : une solution également écologique

De nombreux professionnels de santé encensent régulièrement les avantages du vapotage sur le tabagisme avec pour argument principal une moindre toxicité. Mais peu d’organismes évoquent les autres intérêts que la cigarette électronique peut avoir pour la conservation de la planète.

En effet, fini les mégots par terre, sur la route, sur la plage et dans les eaux. Car la cigarette électronique n’utilise pas de filtres. Les mégots font partie des objets jetés les plus polluants. Un seul mégot met près de 12 ans avant de disparaître de la nature. Le site planetoscope permet de voir en temps réel le nombre de mégots jetés dans le monde et les chiffres sont impressionnants.

A l’inverse d’une cigarette classique, la cigarette électronique est réutilisable. Elle peut en effet être conservée de nombreuses années. Il faut bien évidemment parfois renouveler les batteries (qui peuvent être recyclées comme des batteries ordinaires) et les résistances, mais pour le reste tout peut être conservé.

Une fois le matériel hors d’usage vous pouvez le déposer en magasin ou le confier à une organisation qui se chargera du recyclage.

Certes les flacons de e-liquides et leur limitation de 10 ml ne sont pas bon pour la planète ! La encore il existe certains moyens pour limiter les déchets. Pourquoi ne pas opter pour les e-liquides DIY ? Cette solution est plus écologique en limitant l’impact des petits conditionnements et permettant d’importantes économies au passage.

La vapeur de cigarette électronique est beaucoup moins toxique. N’engendrant aucune combustion, elle est en effet moins polluante que le tabac. Un fumeur rejette dans l’air ambiant de nombreux produits toxiques, tandis que le vapoteur rejette de la vapeur.

Pour miser sur un environnement plus vert, l’option cigarette électronique est semble-t-il une bonne solution autant pour notre santé que pour la planète.

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USA : publication de la liste officielle de la PMTA

USA : publication de la liste officielle de la PMTA

Le 20 mai 2021, la FDA (Food and Drug Administration) a publié la liste des nouveaux produits du tabac pour lesquels une demande de pré-commercialisation a été soumise auprès de la PMTA (Premarket Tobacco Product Applications) avant le 9 septembre 2020.

Cette liste de 6 millions de produits a donc été établie à partir de ces dépôts.

Au Etats Unis, tous les produits de vapotage (avec ou sans nicotine) sont considérés comme des produits de tabac, de ce fait depuis août 2016, les fabricants de vape ont été obligés de déposer une PMTA pour chaque e-liquide ou dispositif vendu.

Cette liste n’est pas exhaustive, en raison du volume extrêmement importants de demandes reçues et de certains produits qui ne sont pas répertoriés, car tous les articles commercialisés avant février 2007 n’ont pas eu besoin d’une PMTA pour être vendus.

La FDA mettra à jour régulièrement les listes et s’accorde une année pour déterminer quels produits pourraient rester ou être retirer du marché en cas de retour négatif.

Ce système semble bien compliqué et aléatoire. Le soulagement de nombreux acteurs de la vape concernant cette attente de liste va être de courte durée et devenir un vrai casse-tête pour les mois à venir.

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Royaume-Uni : les physiciens favorables à la vape

Les hôpitaux britanniques offrent des kits de vape à leurs patients

Le Royaume-Uni lance une nouvelle campagne au sein des services de santé. Afin d’inciter à arrêter de fumer, les hôpitaux du pays offriront un kit de vape à des patients fumeurs.

Pour donner suite à l’article publié par Cancer Research UK, encourageant les fumeurs britanniques à passer au vapotage, le Royaume-Uni annonce le lancement d’une nouvelle étude qui débutera dès l’automne prochain.

Elle se déroulera dans plusieurs hôpitaux de Norfolk, Londres, Leicester et Edimbourg. En pratique, les fumeurs pourront se présenter dans les services d’urgences de ces hôpitaux pour recevoir un kit comprenant, un vaporisateur personnel ainsi qu’une quantité d’e-liquide pour une semaine. Avec un accompagnement pour répondre à leurs questions et les aiguiller dans leurs achats ultérieurs.

Tout le long de cette étude, les patients équipés seront recontactés après un mois, trois mois et six mois afin de suivre leurs évolutions et s’ils continuent de fumer.

Pour la professeure Catlin Notley, qui participe à la direction de cette étude : « Recruter des personnes dans les services d’urgences pourrait contribuer à introduire l’idée d’une tentative d’arrêt du tabac à l’aide d’e-cigarette auprès d’un groupe de personnes qui n’y avaient jamais pensé »

Le Royaume-Uni n’en est pas à sa première étude de ce type. En octobre 2019, une opération similaire avait été organisée dans un hôpital psychiatrique.

En cas de succès, le projet pourrait être étendu à tous les établissements du pays, afin d’aider les 6 millions de fumeurs de Grande Bretagne.

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Ebay balaie la vape

Ebay balaie la vape

A compter du 9 juin prochain, le géant des enchères va interdire la vente de cigarettes électroniques, leurs accessoires et leurs dérivés.

Au vu des nouvelles règlementations de certains pays, concernant la vape, Ebay a pris la décision de mettre à jour son règlement, en se justifiant « la vente de tabac est strictement règlementé et peut nuire aux membres Ebay. Par conséquent, nous interdisons la vente de produits de tabac ».

La vente de produits de vape et dérivés, plus précisément « cigarettes électroniques, chichas électroniques et accessoires tels que les atomiseurs, les liquides (avec ou sans nicotine) et les arômes, y seront désormais interdites et cette mesure entrera en vigueur à partir du 9 juin 2021».

Les activités non conformes aux règlements seront susceptibles d’entraîner des sanctions, notamment : la suppression ou l’annulation de l’annonce, le masquage ou la réduction de la visibilité de toutes les annonces dans les résultats de recherche, l’abaissement des évaluations du vendeur, des restrictions des privilèges d’achat ou de vente et la suspension du compte.

C’est un nouveau coup dur pour le monde de la vape mais qui n’est clairement pas une surprise quand on sait que la place du marché d’Ebay est soumise au droit américain.

La question reste maintenant de savoir si d’autres plateformes suivront le mouvement en interdisant la vente de produits du vapotage.

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